Analyse de symptômes interactive
Notre modèle 3D vous aide à identifier les éventuelles causes de vos symptômes rapidement et facilement !
publicité
publicité
Notre modèle 3D vous aide à identifier les éventuelles causes de vos symptômes rapidement et facilement !
Retrouvez toute l'actualité santé & bien-être d'onmeda directement dans votre boîte mail !
Maladies, Psychologie, Gynéco, Grossesse, Sexualité, News santé... c'est vous qui décidez !
Vous avez une question ? Posez-la à un de nos experts dans nos forums !
Retrouvez toute l'actualité santé & bien-être d'onmeda directement dans votre boîte mail !
Maladies, Psychologie, Gynéco, Grossesse, Sexualité, News santé... c'est vous qui décidez !
Retrouvez toute l'actualité santé & bien-être d'onmeda directement dans votre boîte mail !
Maladies, Psychologie, Gynéco, Grossesse, Sexualité, News santé... c'est vous qui décidez !
Médicament générique du Keppra
Classe thérapeutique: Neurologie-psychiatrie
principes actifs: Lévétiracétam
laboratoire: Sun Pharma Indus Eur BV
Levetiracetam SUN est indiqué en monothérapie dans le traitement des crises partielles avec ou sans généralisation secondaire chez les patients à partir de 16 ans présentant une épilepsie nouvellement diagnostiquée.
Levetiracetam SUN est indiqué en association
• dans le traitement des crises partielles avec ou sans généralisation secondaire chez l'adulte, et l'enfant à partir de 4 ans présentant une épilepsie • dans le traitement des crises myocloniques de l'adulte et de l'adolescent à partir de 12 ans présentant une épilepsie myoclonique juvénile • dans le traitement des crises généralisées tonico-cloniques primaires de l'adulte et de l'adolescent à partir de 12 ans présentant une épilepsie généralisée idiopathique.La solution à diluer de Levetiracetam SUN est une alternative pour les patients quand la prise par voie orale est momentanément impossible.
Posologie
En monothérapie, pour adulte et adolescent à partir de 16 ans
La dose initiale recommandée est de 250 mg 2 fois par jour, elle doit être augmentée après 2 semaines à la dose thérapeutique de 500 mg 2 fois par jour. La dose peut être augmentée à nouveau de 250 mg 2 fois par jour toutes les 2 semaines en fonction de la réponse clinique. La dose maximale est de 1500 mg 2 fois par jour.
Traitement en association, pour adulte ( ≥ 18 ans) et adolescent (12 à 17 ans) pesant 50 kg ou plus
La dose thérapeutique initiale est de 500 mg 2 fois par jour. Cette dose peut être débutée dès le premier jour de traitement.
En fonction de la réponse clinique et de la tolérance, la dose quotidienne peut être augmentée jusqu'à 1500 mg 2 fois par jour. Les augmentations et diminutions posologiques peuvent se faire par paliers de 500 mg 2 fois par jour toutes les 2 à 4 semaines.
Durée du traitement
Il n'y a pas de données disponibles sur l'administration du lévétiracétam par voie intraveineuse sur une période de plus de 4 jours.
Populations particulières
Sujet âgé (65 ans et plus)
Un ajustement de la dose est recommandé chez les sujets âgés présentant une altération de la fonction rénale (voir " Insuffisance rénale " ci-après).
Insuffisance rénale
La dose quotidienne doit être adaptée d'après la fonction rénale.
Pour l'adulte, utiliser le tableau ci-dessous et ajuster la posologie comme indiqué. Il est nécessaire de calculer la clairance de la créatinine (CLcr) du patient en ml/min. La CLcr en ml/min peut être estimée à partir de la valeur de la créatinine sérique (en mg/dl), chez l'adulte et l'adolescent de plus de 50 kg selon la formule suivante :
CLcr( ml/min) = [140-âge (années)] x poids (kg) (x 0.85 pour les femmes)
72 x créatinine sérique (mg/dl)
Ensuite, la clairance de la créatinine est ajustée à la surface corporelle comme suit :
CLcr (ml/min/1,73 m²) = CLcr (ml/min) x 1,73
Surface corporelle (m²)
Adaptation posologique chez l'adulte et l'adolescent pesant plus de 50 kg ayant une insuffisance rénale :
Groupe |
Clairance de la créatinine (ml/min/1,73 m²) |
Posologie et fréquence d'administration |
Fonction rénale normale |
> 80 |
500 à 1500 mg 2 fois par jour |
Insuffisance rénale légère |
50-79 |
500 à 1000 mg 2 fois par jour |
Insuffisance rénale modérée |
30-49 |
250 à 750 mg 2 fois par jour |
Insuffisance rénale sévère |
< 30 |
250 à 500 mg 2 fois par jour |
Insuffisance rénale terminale sous dialyse (1) |
-- |
500 à 1000 mg une fois par jour (2) |
(1) Une dose de charge de 750 mg est recommandée le premier jour du traitement par lévétiracétam.
(2) Après une séance de dialyse, une dose supplémentaire de 250 à 500 mg est recommandée.
Chez l'enfant insuffisant rénal, la dose de lévétiracétam doit être ajustée selon la fonction rénale car la clairance du lévétiracétam est dépendante de celle-ci. Cette recommandation se base sur une étude chez l'adulte insuffisant rénal.
La CLcr en ml/min/1,73 m² peut être estimée à partir de la détermination de la créatinine sérique (mg/dl), chez le jeune adolescent, l'enfant et le nourrisson, en utilisant la formule suivante (formule de Schwartz) :
Taille (cm) x ks
CLcr (ml/min/1,73 m²) = -----------------------------------
Créatinine sérique (mg/dl)
ks = 0,55 chez l'enfant jusqu'à moins de 13 ans et chez l'adolescente ; ks = 0,7 chez l'adolescent.
Adaptation posologique chez l'enfant et l'adolescent pesant moins de 50 kg atteint d'insuffisance rénale
Groupe |
Clairance de la créatinine (ml/min/1,73 m²) |
Dose et fréquence |
Enfants à partir de 4 ans et adolescents pesant moins de 50 kg | ||
Fonction rénale |
> 80 |
10 à 30 mg/kg (0,10 à 0,30 ml/kg) 2 fois par jour |
normale |
||
Insuffisance rénale |
50-79 |
10 à 20 mg/kg (0,10 à 0,20 ml/kg) 2 fois par jour |
légère |
||
Insuffisance rénale |
30-49 |
5 à 15 mg/kg (0,05 à 0,15 ml/kg) 2 fois par jour |
modérée |
||
Insuffisance rénale |
< 30 |
5 à 10 mg/kg (0,05 à 0,10 ml/kg) 2 fois par jour |
sévère |
||
Patients atteints |
-- |
10 à 20 mg/kg (0,10 à 0,20 ml/kg) une fois par jour (1) |
d'insuffisance |
(2) | |
rénale au stade |
||
terminal |
||
sous dialyse |
(1) Une dose de charge de 15 mg/kg (0,15ml/kg) est recommandée le premier jour de traitement par lévétiracétam.
(2) Après dialyse, une dose supplémentaire de 5 à 10 mg/kg (0,05 à 0,10 ml/kg) est recommandée.
Insuffisance hépatique
Aucun ajustement de la dose n'est nécessaire chez le patient atteint d'insuffisance hépatique légère à modérée. Chez le patient atteint d'insuffisance hépatique sévère, la clairance de la créatinine peut sous- estimer l'insuffisance rénale. Par conséquent, une réduction de 50 % de la dose quotidienne d'entretien est recommandée en cas de clairance de la créatinine < 60 ml/min/1,73m².
Population pédiatrique
Le médecin doit prescrire la forme pharmaceutique, la présentation et le dosage les plus adaptés en fonction de l'âge, du poids et de la dose.
En monothérapie
La sécurité et l'efficacité de Levetiracetam SUN chez l'enfant et l'adolescent de moins de 16 ans n'ont pas été établies en monothérapie. Il n'y a pas de données disponibles.
Traitement en association chez l'enfant de 4 à 11 ans et adolescent (12 à 17 ans) pesant moins de 50 kg
La dose thérapeutique initiale est de 10 mg/kg 2 fois par jour.
En fonction de la réponse clinique et de la tolérance, la dose peut être augmentée jusqu'à 30 mg/kg 2 fois par jour. Les augmentations et diminutions de doses ne doivent pas dépasser 10 mg/kg 2 fois par jour toutes les 2 semaines. La dose minimale efficace doit être utilisée.
La posologie chez l'enfant de 50 kg ou plus est la même que chez l'adulte.
Recommandations posologiques chez l'enfant et l'adolescent :
Poids |
Dose initiale |
Dose maximale : |
10 mg/kg 2 fois par jour |
30 mg/kg 2 fois par jour | |
15 kg (1) |
150 mg 2 fois par jour |
450 mg 2 fois par jour |
20 kg (1) |
200 mg 2 fois par jour |
600 mg 2 fois par jour |
25 kg |
250 mg 2 fois par jour |
750 mg 2 fois par jour |
A partir de 50 kg (2) |
500 mg 2 fois par jour |
1500 mg 2 fois par jour |
(1) Les enfants de 25 kg ou moins doivent de préférence initier le traitement par la solution buvable.
(2) La posologie chez l'enfant et l'adolescent de 50 kg ou plus est la même que chez l'adulte.
Traitement en association chez le nourrisson et l'enfant de moins de 4 ans
La sécurité et l'efficacité de Levetiracetam SUN solution à diluer pour perfusion n'ont pas été établies chez le nourrisson et l'enfant de moins de 4 ans.
Les données actuellement disponibles sont décrites en rubriques Effets indésirables, Propriétés pharmacodynamiques et Propriétés pharmacocinétiques mais aucune recommandation posologique ne peut être faite.
Mode d'administration
Le traitement par lévétiracétam peut être instauré soit par voie intraveineuse soit par voie orale. Le passage de la voie orale à la voie intraveineuse et inversement peut se faire directement sans contrôle des taux plasmatiques de lévétiracétam. La dose totale quotidienne et la fréquence d'administration doivent être maintenues.
Levetiracetam SUN solution à diluer doit être utilisée par voie intraveineuse uniquement et la dose recommandée doit être diluée dans au moins 100 ml d'un solvant compatible et administrée par voie intraveineuse en perfusion intraveineuse de 15 minutes (voir rubrique Instructions pour l'utilisation, la manipulation et l'élimination).
Hypersensibilité au principe actif ou aux autres dérivés de la pyrrolidone, ou à l'un des excipients.
Résumé du profil de tolérance
Le profil des événements indésirables présenté ci-dessous est basé sur l'analyse de l'ensemble des essais cliniques contrôlés versus placebo réalisés dans toutes les indications, soit un total de 3416 patients traités par lévétiracétam. Ces données sont complétées par celles de l'utilisation du lévétiracétam dans les études correspondantes de suivi en ouvert, ainsi que par celles issues de la surveillance après commercialisation. Les effets indésirables le plus fréquemment rapportés ont été : rhinopharyngite, somnolence, céphalée, fatigue et sensation vertigineuse. Le profil de tolérance du lévétiracétam est généralement similaire au sein des différentes classes d'âge (adultes et patients pédiatriques) et pour toutes les indications approuvées dans l'épilepsie.
Liste tabulée des effets indésirables
Les effets indésirables rapportés au cours des études cliniques (menées chez l'adulte, l'adolescent, l'enfant et le nourrisson > 1 mois) et depuis la commercialisation sont présentés par classe système-organe et par fréquence, dans le tableau ci-dessous. La fréquence est définie de la façon suivante : très fréquent : (≥ 1/10); fréquent : (≥ 1/100 à < 1/10); peu fréquent : (≥ 1/1000 à < 1/100); rare : (≥ 1/10000 à < 1 /1000) et très rare : (< 1 /10000).
MedDRA SOC | Catégories de fréquence | |||
Très fréquent | Fréquent | Peu fréquent | Rare | |
Infections et infestations | Rhinopharyngite | Infection | ||
Affections hématologiques et du système lymphatique | Thrombocytop énie, leucopénie(1) | Pancytopénie(1,2), neutropénie(1) | ||
Troubles du métabolisme et de la nutrition | Anorexie | Perte de poids(1), prise de poids | ||
Affections psychiatriques | Dépression, hostilité/agressivité, anxiété(1), insomnie, nervosité/irritabilité | Tentative de suicide(1), idée suicidaire(1), trouble psychotique(1), trouble du comportement(1), hallucination(1), colère(1), état confusionnel(1), labilité émotionnelle/sautes d'humeur, agitation | Suicide trouble de la personnalité, trouble de la pensée | |
Affections du système nerveux | Somnolence, céphalée | Convulsion, trouble de l'équilibre, sensation vertigineuse, léthargie, tremblement | Amnésie, trouble de la mémoire, trouble de la coordination /ataxie, paresthésie(1), trouble de l'attention | Choréoathétose(1), dyskinésie(1), hyperkinésie |
Affections oculaires | Diplopie, vision trouble | |||
Affections de l'oreille et du labyrinthe | Vertige | |||
Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales | Toux | |||
Affections gastro-intestinales | Douleur abdominale, diarrhée, dyspepsie, vomissement, nausée | Pancréatite(1) | ||
Affections hépatobiliaires | Anomalies des tests de la fonction hépatique(1) | Insuffisance hépatique(1), hépatite(1) | ||
Affections de la peau et du tissu sous-cutané | Eruption cutanée | Alopécie(1), eczéma, prurit, | Nécrolyse épidermique(1) toxique, syndrome de Stevens-Johnson(1), érythème polymorphe(1) | |
Affections musculo-squelettiques et systémiques | Faiblesse musculaire, myalgie | |||
Troubles généraux et anomalies au site d'administration | Asthénie/fatigue | |||
Lésions, intoxications et complications liées aux procédures | Blessure | |||
(1) Effets indésirables ajoutés durant la surveillance après commercialisation (2) Aplasie médullaire identifiée dans quelques cas. |
Description d'effets indésirables sélectionnés
Le risque d'anorexie est plus important lors de la co-administration de topiramate et de lévétiracétam. Dans plusieurs cas d'alopécie, une régression a été observée à l'arrêt du lévétiracétam.
Population pédiatrique
Chez les enfants (de 1 mois à moins de 4 ans), un total de 190 patients ont été traités par lévétiracétam lors d'études de prolongation ouverte, contrôlées versus placebo. Soixante (60) d'entre eux avaient été traités par lévétiracétam lors d'études contrôlées versus placebo. Chez les patients de 4-16 ans, un total de 645 patients ont été traités par lévétiracétam lors d'études de prolongation ouverte, contrôlées versus placebo. 233 de ces patients avaient été traités par lévétiracétam lors d'études contrôlées versus placebo. Dans ces deux tranches d'âge pédiatriques, ces données sont complétées par l'expérience postcommercialisation de l'utilisation du lévétiracétam.
Le profil de tolérance du lévétiracétam est généralement identique à travers les tranches d'âge et à travers les indications d'épilepsie approuvées. Les résultats de tolérance chez les patients pédiatriques lors d'études cliniques contrôlées versus placebo étaient cohérents avec le profil de tolérance du lévétiracétam chez les adultes, à l'exception d'effets indésirables comportementaux et psychiatriques, plus fréquents chez l'enfant que chez l'adulte. Chez l'enfant et l'adolescent de 4 à 16 ans, des vomissements (très fréquents, 11,2 %), une agitation (fréquente, 3,4 %), des sautés d'humeur (fréquentes, 2,1 %), une labilité émotionnelle (fréquente, 1,7 %), de l'agressivité (fréquente, 8,2 %), des troubles comportementaux (fréquents, 5,6 %) et une léthargie (fréquente, 3,9 %) ont été rapportés plus fréquemment que dans les autres tranches d'âge ou dans le profil de tolérance global. Chez le nourrisson et l'enfant de 1 mois à moins de 4 ans, une irritabilité (très fréquente, 11,7 %) et des troubles de coordination (fréquents, 3,3 %) ont été rapportés plus fréquemment que dans les autres tranches d'âge ou dans le profil de tolérance global.
Une étude de tolérance dans la population pédiatrique, étude de non infériorité, en double aveugle, contrôlée versus placebo, a permis d'évaluer les effets cognitifs et neuropsychologiques de lévétiracétam chez les enfants de 4 à 16 ans ayant des crises partielles. Il a été conclu que le lévétiracétam n'était pas différent (non inférieur) du placebo pour la modification du score Leiter-R Attention and Memory, Memory Screen Composite dans la population per protocole par rapport au score à l'inclusion. Les résultats concernant les fonctions comportementale et émotionnelle ont indiqué une aggravation du comportement agressif chez les patients traités par lévétiracétam, selon une mesure standardisée et systématique utilisant un instrument validé, la Child Behavior CheckList d'Achenbach (CBCL).
Cependant, les sujets traités par lévétiracétam dans l'étude de suivi à long terme en ouvert n'ont pas présenté, en moyenne, d'altération des fonctions comportementale et émotionnelle, en particulier, les mesures du comportement agressif n'ont pas montré d'aggravation par rapport aux valeurs à l'inclusion.
De nombreux facteurs ont un impact sur notre santé. Découvrez si votre mode de vie est "sain" et si vous êtes exposés à des facteurs de risques spécifiques !
Toute l'actualité santé directement dans votre boîte mail ! Grossesse, Maladies, Psychologie, Gynéco, Sexualité, News santé... c'est vous qui décidez !
Le docteur Marc Espié donne plein d'informations sur ce problème qui peut inquiéter les femmes.
Pour les femmes sujettes aux mycoses vaginales, informez-vous sur les solutions pour les prévenir !
Pour savoir si votre mal de dos qui dure depuis plusieurs mois, est lié à une spondylarthrite ankylosante, répondez à ce test.
Les remèdes contre le rhume sont nombreux. Mais qu’en est-il vraiment ?
Un surpoids, des troubles de l'humeur, etc. sont des facteurs qui amènent à penser à un dérèglement hormonal. Voici les signes qui doivent alerter...
Inscrivez-vous à la communauté Onmeda
Les maux de tête sont un des signes principaux de l'hypertension artérielle ? Les femmes enceintes sont-elles à risque ? L'expert répond.
Voici la liste des principaux numéros d'urgence gratuits à connaître pour joindre les secours ouverts 24h sur 24.
Caries, gencives qui saignent, érosion dentaire... Tout ce qu'il faut savoir sur la santé et les soins dentaires !