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Médicament générique du Classe thérapeutique: Hémostase et sang
principes actifs: Enoxaparine sodique
laboratoire: Aventis
Cette héparine est une héparine de bas poids moléculaire (HBPM).
Ses indications sont les suivantes :
- traitement prophylactique de la maladie thrombo-embolique veineuse en chirurgie, dans les situations à risque modéré ou élevé ;
- prévention de la coagulation du circuit de circulation extracorporelle au cours de I'hémodialyse (séance en général d'une durée < = 4 heures).
VOIE SOUS-CUTANEE (en dehors de l'indication en hémodialyse).
Cette présentation est adaptée à l'adulte.
Ne pas injecter par voie IM.
1 ml de solution injectable correspond environ à 10000 UI anti-Xa d'énoxaparine.
- Technique de l'injection sous-cutanée :
La seringue préremplie est prête pour une utilisation immédiate ; ne pas purger la seringue avant injection.
L'injection sous-cutanée de l'énoxaparine doit être réalisée de préférence chez le patient en décubitus, dans le tissu cellulaire sous-cutané de la ceinture abdominale antérolatérale et postérolatérale, alternativement du côté droit et du côté gauche.
L'aiguille doit être introduite perpendiculairement et non tangentiellement, sur toute sa longueur, dans l'épaisseur d'un pli cutané réalisé entre le pouce et l'index de l'opérateur. Ce pli cutané doit être maintenu pendant toute la durée de l'injection.
- Recommandation générale :
La surveillance régulière de la numération plaquettaire est impérative pendant toute la durée du traitement en raison du risque de thrombopénie induite par l'héparine (TIH) (voir rubrique mises en garde et précautions d'emploi).
TRAITEMENT PROPHYLACTIQUE DE LA MALADIE THROMBO-EMBOLIQUE VEINEUSE EN CHIRURGIE :
Ces recommandations s'appliquent en règle générale aux interventions chirurgicales effectuées sous anesthésie générale.
Pour les techniques de rachianesthésie et d'anesthésie péridurale, l'intérêt de l'injection pré-opératoire doit être évalué en raison du risque théorique accru d'hématome intrarachidien (voir rubrique précautions d'emploi).
- Fréquence d'administration :
1 injection par jour.
- Dose administrée :
Elle doit être fonction du niveau de risque individuel, lié au patient et au type de chirurgie :
- Situation à risque thrombogène modéré :
Dans le cas d'une chirurgie à risque thrombogène modéré et lorsque les patients ne présentent pas de risque thrombo-embolique élevé, la prévention efficace de la maladie thrombo-embolique est obtenue par une injection quotidienne d'une dose de 2000 UI anti-Xa (0,2 ml).
Le schéma thérapeutique étudié comporte une première injection effectuée 2 heures avant l'intervention.
- Situation à risque thrombogène élevé :
. chirurgie de la hanche et du genou :
La posologie est de 4000 UI anti-Xa (0,4 ml), à raison d'une injection quotidienne.
Le schéma thérapeutique étudié comporte soit une première injection de 4000 UI anti-Xa (dose totale) effectuée 12 heures avant l'intervention, soit une première injection de 2000 UI anti-Xa (moitié de dose) 2 heures avant l'intervention.
. Autres situations :
lorsque le risque thrombo-embolique lié au type de chirurgie (notamment cancérologique) et/ou au patient (notamment antécédents de maladie thrombo-embolique) paraît majoré, on peut envisager le recours à une posologie prophylactique identique à celle de l'orthopédie à risque élevé (hanche, genou).
- Durée du traitement :
le traitement par HBPM, accompagné des techniques habituelles de contention élastique des membres inférieurs, doit être maintenu jusqu'à déambulation active et complète du patient :
. en chirurgie générale, la durée du traitement par HBPM doit être inférieure à 10 jours, en dehors d'un risque thrombo-embolique veineux particulier lié au patient (voir rubrique précautions d'emploi, surveillance plaquettaire) ;
. l'intérêt d'un traitement prophylactique en chirurgie orthopédique de hanche, par une injection d'énoxaparine à la dose de 4000 UI anti-Xa/j durant 4 à 5 semaines après l'intervention, a été établi ;
. si le risque thrombo-embolique veineux persiste au-delà de la période de traitement recommandée, il est nécessaire d'envisager la poursuite de la prophylaxie, notamment par les anticoagulants oraux.
Toutefois, le bénéfice clinique d'un traitement à long terme par héparine de bas poids moléculaire ou par antivitamine K n'est pas évalué à l'heure actuelle.
PREVENTION DE LA COAGULATION DU CIRCUIT DE CIRCULATION EXTRACORPORELLE/HEMODIALYSE :
INJECTION PAR VOIE INTRAVASCULAIRE (dans la ligne artérielle du circuit de la dialyse).
Chez les patients bénéficiant de séances d'hémodialyse itératives, la prévention de la coagulation dans le circuit d'épuration extrarénale est obtenue en injectant une dose initiale de 100 UI anti-Xa/kg dans la ligne artérielle du circuit de dialyse, en début de séance.
Cette dose, administrée en bolus intravasculaire unique, n'est adaptée que pour les séances de dialyse de 4 heures ou moins. Elle est susceptible d'être modifiée ultérieurement, en raison de l'importante variabilité intra et interindividuelle.
La dose maximale recommandée est de 100 UI anti-Xa/kg.
Chez les patients hémodialysés à haut risque hémorragique (en particulier dialyses pré ou post-opératoires) ou présentant un syndrome hémorragique en évolution, les séances de dialyse pourront être effectuées en utilisant une dose de 50 UI anti-Xa/kg (abord vasculaire double) ou de 75 UI anti-Xa/kg (abord vasculaire simple).
CONTRE-INDIQUE :
Ce médicament NE DOIT PAS ETRE UTILISE dans les situations suivantes :
- hypersensibilité à l'énoxaparine, à l'héparine ou à ses dérivés incluant les autres HBPM ;
- antécédents de thrombopénie induite par l'héparine (ou TIH) grave de type II induite sous héparine non fractionnée ou sous héparine de bas poids moléculaire (voir rubrique précautions d'emploi) ;
- manifestations ou tendances hémorragiques liées à des troubles de l'hémostase (les coagulations intravasculaires disséminées peuvent être une exception à cette règle, lorsqu'elles ne sont pas liées à un traitement par l'héparine - voir rubrique précautions d'emploi) ;
- lésion organique susceptible de saigner ;
- saignement évolutif cliniquement significatif.
Ne pas injecter par voie IM.
DECONSEILLE :
Utilisation chez l'enfant : en l'absence de données, l'utilisation des HBPM chez l'enfant n'est pas recommandée.
Ce médicament est GENERALEMENT DECONSEILLE dans les cas suivants :
- insuffisance rénale sévère (clairance de créatinine de l'ordre de 30 ml/min, selon l'estimation de la formule de Cockroft, voir rubrique précautions d'emploi),
- dans les 24 premières heures qui suivent une hémorragie intracérébrale.
De plus ce médicament à doses préventives est GENERALEMENT DECONSEILLE, chez le sujet âgé de plus de 65 ans, en association avec (voir rubrique interactions) :
1. l'acide acétylsalicylique aux doses antalgiques, antipyrétiques et anti-inflammatoires (et, par extrapolation, autres salicylés),
2. les AINS (voie générale),
3. le dextran 40 (voie parentérale).
- Manifestations hémorragiques : elles surviennent essentiellement en présence :
. de facteurs de risque associés : lésions organiques susceptibles de saigner, certaines associations médicamenteuses (voir rubriques contre-indications et interactions), âge, insuffisance rénale, faible poids.
. de non-respect des modalités thérapeutiques, notamment durée de traitement et adaptation de la dose en fonction du poids (voir rubrique mises en garde/risque hémorragique).
De rares cas d'hématomes intrarachidiens ont été rapportés lors de l'administration d'héparine de bas poids moléculaire au cours d'une rachianesthésie, d'une analgésie ou d'une anesthésie péridurale.
Ces événements ont entraîné des lésions neurologiques de gravité variable dont des paralysies prolongées ou permanentes (voir rubrique précautions d'emploi).
- L'administration par voie sous-cutanée peut entraîner la survenue d'hématomes au point d'injection. Ils sont majorés par le non-respect de la technique d'injection ou l'utilisation d'un matériel d'injection inadéquat. Des nodules fermes disparaissant en quelques jours traduisent un processus inflammatoire et ne sont pas un motif d'arrêt du traitement.
- Des thrombopénies ont été rapportées. Elles sont de deux types :
. les plus fréquentes, de type I, sont habituellement modérées (> 100000/mm3), précoces (avant le 5ème jour) et ne nécessitent pas l'arrêt du traitement,
. rarement des thrombopénies immuno-allergiques graves de type II (TIH). Leur prévalence est encore mal évaluée (voir rubrique mises en garde et précautions d'emploi).
Possibilité d'élévation asymptomatique et réversible des plaquettes.
- De rares nécroses cutanées au point d'injection ont été signalées avec les héparines. Ces réactions peuvent être précédées d'un purpura ou de placards érythémateux, infiltrés et douloureux. La suspension du traitement doit être immédiate.
- Rares manifestations allergiques cutanées ou générales susceptibles, dans certains cas, de conduire à l'arrêt du médicament.
- Le risque d'ostéoporose ne peut être exclu, comme avec les héparines non fractionnées, lors de traitements prolongés.
- Elévation transitoire des transaminases.
- Quelques cas d'hyperkaliémie.
- De très rares cas de vascularites dues à une hypersensibilité cutanée ont été rapportés.
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