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Médicament générique du Elisor
Classe thérapeutique: Cardiologie et angéiologie
principes actifs: Pravastatine
laboratoire: Biogaran
Hypercholestérolémie
Traitement des hypercholestérolémies primaires ou des dyslipidémies mixtes, en complément d'un régime, quand la réponse au régime et aux autres traitements non pharmacologiques (par exemple, exercice, perte de poids) est insuffisante.
Prévention primaire
Réduction de la mortalité et de la morbidité cardiovasculaires chez les patients présentant une hypercholestérolémie modérée ou sévère et exposés à un risque élevé de premier événement cardiovasculaire, en complément d'un régime ( voir rubrique Propriétés pharmacodynamiques ).
Prévention secondaire
Réduction de la mortalité et de la morbidité cardiovasculaires chez les patients ayant un antécédent d'infarctus du myocarde ou d'angor instable et un taux de cholestérol normal ou élevé, en plus de la correction des autres facteurs de risque ( voir rubrique Propriétés pharmacodynamiques ).
Post-transplantation
Réduction des hyperlipidémies post-transplantation chez les patients recevant un traitement immunosuppresseur à la suite d'une transplantation d'organe ( voir rubriques Posologie et mode d'administration , Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions et Propriétés pharmacodynamiques ).
Avant de débuter un traitement par PRAVASTATINE BIOGARAN, toute cause secondaire d'hypercholestérolémie doit être éliminée et les patients doivent être soumis à un régime hypocholestérolémiant standard qui doit être poursuivi pendant toute la durée du traitement.
PRAVASTATINE BIOGARAN est administré par voie orale, en une prise par jour, de préférence le soir, pendant ou en dehors des repas.
Hypercholestérolémie: la dose recommandée est de 10 à 40 mg une fois par jour. La réponse thérapeutique est observée une semaine après le début du traitement et l'effet maximum d'une dose donnée après quatre semaines.
De ce fait, des bilans lipidiques périodiques doivent être pratiqués et la posologie ajustée en conséquence. La dose journalière maximale est de 40 mg.
Prévention cardiovasculaire: dans toutes les études de prévention de la morbidité et de la mortalité, la seule dose initiale et d'entretien étudiée était de 40 mg par jour.
Posologie après transplantation: à la suite d'une transplantation d'organe, la dose initiale recommandée chez les patients recevant un traitement immunosuppresseur ( voir rubrique Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions ) est de 20 mg par jour. En fonction de la réponse sur les paramètres lipidiques, la posologie peut être augmentée à 40 mg sous stricte surveillance médicale ( voir rubrique Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions ).
Enfants et adolescents (8-18 ans) avec une hypercholesterolémie familiale héterozygote: la dose recommandée est de 10 à 20 mg une fois par jour entre 8 et 13 ans, des doses supérieures à 20 mg n'ayant pas été étudiées dans cette population; et de 10 à 40 mg par jour entre 14 et 18 ans (pour les filles et adolescentes en âge de procréer, voir rubrique Grossesse et allaitement ; pour les résultats de l'étude voir rubrique Propriétés pharmacodynamiques ).
Patients âgés: aucun ajustement posologique n'est nécessaire chez ces patients, sauf s'ils présentent des facteurs de risque prédisposants ( voir rubrique Mises en garde et précautions d'emploi ).
Insuffisance rénale ou hépatique: une dose initiale de 10 mg par jour est recommandée chez les patients atteints d'insuffisance rénale modérée ou sévère ou d'insuffisance hépatique significative. La posologie doit être ajustée sous surveillance médicale en fonction de la réponse sur les paramètres lipidiques.
Traitements concomitants: les effets hypolipidémiants de PRAVASTATINE BIOGARAN sur le cholestérol total et le LDL-cholestérol sont majorés en cas d'association à une résine chélatrice des acides biliaires (par ex., cholestyramine, colestipol). PRAVASTATINE BIOGARAN doit être administré soit une heure avant, soit au moins quatre heures après la résine ( voir rubrique Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions ).
Pour les patients prenant de la ciclosporine, associée ou non à d'autres immunosuppresseurs, le traitement doit être initié par 20 mg de pravastatine sodique une fois par jour et une augmentation à 40 mg doit être réalisée avec précaution ( voir rubrique Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions ).
· Hypersensibilité à la pravastatine ou à l'un des constituants du médicaments;
· Affection hépatique évolutive, y compris élévations prolongées et inexpliquées des taux de transaminases sériques au-delà de 3 fois la limite supérieure de la normale (> 3 N) ( voir rubrique Mises en garde et précautions d'emploi );
· Grossesse et allaitement ( voir rubrique Grossesse et allaitement ).
Les fréquences des événements indésirables sont classées comme suit: très fréquent (≥ 1/10); fréquent (≥ 1/100, < 1/10); peu fréquent (≥ 1/1 000, < 1/100); rare (≥ 1/10 000, < 1/1 000); très rare (< 1/10 000).
Essais cliniques : la pravastatine a été étudié à la dose de 40 mg au cours de sept études randomisées, en double aveugle, contrôlées contre placebo portant sur plus de 21 000 patients traités par pravastatine (N = 10 764) ou placebo (N = 10 719), représentant plus de 47 000 patient-années d'exposition à la pravastatine. Plus de 19 000 patients ont été suivi pendant une durée médiane de 4,8 à 5,9 ans.
Les événements indésirables suivants ont été rapportés; aucun d'entre eux n'a été observé à une fréquence supérieure de 0,3 % dans le groupe traité par pravastatine, comparativement au groupe sous placebo.
Troubles du système nerveux :
Peu fréquent : étourdissement, céphalées, troubles du sommeil, insomnies.
Troubles oculaires :
Peu fréquent : troubles de la vision (notamment vision trouble et diplopie).
Troubles gastro-intestinaux :
Peu fréquent : dyspepsie/pyrosis, douleur abdominale, nausées/vomissements, constipation, diarrhées, flatulences.
Troubles de la peau et du système sous-cutané :
Peu fréquent : prurit, éruptions cutanées, urticaire, problèmes capillaires et du cuir chevelu (y compris alopécie).
Troubles du rein et des voies urinaires :
Peu fréquent : miction anormale (notamment dysurie, fréquence, nycturie).
Troubles des organes de reproduction et du sein :
Peu fréquents : troubles sexuels.
Troubles généraux :
Peu fréquent : fatigue.
Evénements présentant un intérêt clinique particulier
Muscles squelettiques : des effets sur les muscles squelettiques, par exemple, des douleurs musculo-squelettiques, notamment des arthralgies, des crampes musculaires, des myalgies, une faiblesse musculaire et des taux de CPK élevés ont été rapportés dans les études cliniques. Dans le cadre des études CARE, WOSCOPS et LIPID, le pourcentage de myalgies (1,4 % sous pravastatine contre 1,4 % sous placebo), de faiblesse musculaire (0,1 % sous pravastatine contre < 0,1 % sous placebo) et l'incidence des taux de CPK > 3 N et > 10 N (1,6 % sous pravastatine contre 1,6 % sous placebo et 1,0 % sous pravastatine contre 1,0 % sous placebo, respectivement) était similaire au placebo ( voir rubrique Mises en garde et précautions d'emploi ).
Effets hépatiques : des élévations des transaminases sériques ont été rapportées. Dans les trois études à long terme, contrôlées contre placebo, CARE, WOSCOPS et LIPID, la fréquence des anomalies marquées des taux d'ALAT et d'ASAT (> 3 N) était similaire dans les deux groupes de traitement (≤ 1,2 %).
Depuis la mise sur le marché
En plus des événements cités ci-dessus, les événements indésirables suivants ont été rapportés depuis la mise sur le marché de la pravastatine:
Troubles psychiatriques
Fréquence indéterminée : dépression.
Troubles du système nerveux
Très rare : polyneuropathie périphérique, en particulier en cas d'utilisation prolongée, paresthésies.
Fréquence indéterminée : cauchemars, pertes de mémoire.
Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales
Fréquence indéterminée : cas exceptionnels de pneumopathie interstitielle, surtout en cas de traitement à long terme ( voir rubrique Mises en garde et précautions d'emploi ).
Troubles gastro-intestinaux
Très rares : pancréatite.
Troubles musculo-squelettiques et du tissu conjonctif
Très rares : rhabdomyolyse, à laquelle peut s'associer une insuffisance rénale aiguë secondaire à la myoglobinurie, myopathie ( voir rubrique Mises en garde et précautions d'emploi ).
Cas isolés de troubles tendineux, parfois compliqués d'une rupture.
Troubles du système immunitaire
Très rare : réactions d'hypersensibilité: anaphylaxie, angio-oedème, syndrome pseudo-lupique érythémateux.
Troubles hépato-biliaires
Très rare : ictère, hépatite, nécrose hépatique fulminante.
Diabète
La fréquence dépend de la présence ou non de facteurs de risques (glycémie à jeun ³ 5,6 mmol/l, IMC > 30 kg/m², augmentation du taux des triglycérides, antécédents hypertension artérielle).
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