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Médicament générique du Classe thérapeutique: Neurologie-psychiatrie
principes actifs: Stylo prérempli (0,2 ml) : Interféron bêta-1a, Stylo prérempli (0,5 ml) : Interféron bêta-1a
laboratoire: Merck Serono Europe Ltd
Rebif est indiqué dans le traitement :
• des patients ayant présenté un seul événement démyélinisant accompagné d'un processus inflammatoire actif, si les diagnostics différentiels possibles ont été exclus et si ces patients sont considérés à haut risque de développer une sclérose en plaques cliniquement définie (voir rubrique Propriétés pharmacodynamiques)
• des patients atteints de sclérose en plaques de type récurrente. Dans les essais cliniques, celle-ci était caractérisée par deux poussées ou plus survenues au cours des deux années précédentes (voir rubrique Propriétés pharmacodynamiques).
Son efficacité n'a pas été démontrée chez les patients atteints de la forme secondairement progressive de sclérose en plaques évoluant sans poussées associées (voir rubrique Propriétés pharmacodynamiques).
Le traitement doit être instauré sous la surveillance d'un médecin ayant l'expérience du traitement de la maladie.
Posologie
Le coffret d'initiation Rebif correspond aux besoins du patient pour le premier mois de traitement. Lors de l'initiation du traitement par Rebif et afin de permettre le développement d'une tachyphylaxie et réduire ainsi les effets indésirables, il est recommandé de débuter le traitement par voie sous-cutanée à la dose de 8,8 microgrammes, puis d'augmenter la dose progressivement sur une période de 4 semaines afin d'atteindre la dose optimale, selon le calendrier suivant :
Titration recommandée (% de la dose optimale) |
Titration de la dose pour Rebif 44 microgrammes trois fois par semaine (3 fois/semaine) | |
Semaines 1-2 |
20% |
8,8 microgrammes 3 fois/semaine |
Semaines 3-4 |
50% |
22 microgrammes 3 fois/semaine |
Semaines ≥ 5 |
100 % |
44 microgrammes 3 fois/semaine |
Population pédiatrique
Aucun essai clinique formel et aucune étude pharmacocinétique n'ont été réalisés chez les enfants ou les adolescents. Cependant, une étude de cohorte pédiatrique rétrospective a recueilli des données sur la sécurité de Rebif à partir des dossiers médicaux d'enfants (n = 52) et d'adolescents (n = 255). Les résultats de cette étude suggèrent que le profil de sécurité chez les enfants (âgés de 2 à 11 ans) et les adolescents (âgés de 12 à 17 ans) traités par 22 microgrammes ou 44 microgrammes de Rebif trois fois par semaine par voie sous-cutanée est similaire à celui observé chez les adultes.
La sécurité et l'efficacité de Rebif chez les enfants âgés de moins de 2 ans n'ont pas encore été établies. Rebif ne doit pas être utilisé dans cette classe d'âge.
Mode d'administration
RebiDose est un stylo prérempli prêt à l’emploi destiné à une administration par injection sous-cutanée. Il est conçu pour un usage unique et doit être utilisé uniquement après formation appropriée du patient et/ou du soignant.
Pour administrer Rebif avec RebiDose, les instructions fournies dans la notice doivent être respectées.
La prise d'un analgésique antipyrétique est recommandée avant chaque injection et dans les 24 heures suivant l'injection, pour atténuer les symptômes pseudo-grippaux associés à l'administration de Rebif.
Actuellement, on ne sait pas combien de temps les patients devront être traités. La sécurité et l'efficacité de Rebif n'ont pas été démontrées au-delà de 4 ans de traitement. Il est recommandé d'évaluer les patients au moins tous les 2 ans au cours des 4 années suivant l'instauration du traitement par Rebif ; la décision de prolonger le traitement plus longtemps sera alors prise par le médecin traitant au cas par cas.
• Initiation du traitement pendant la grossesse (voir rubrique Grossesse et allaitement).
• Hypersensibilité à l'interféron bêta naturel ou recombinant, ou à l'un des excipients mentionnés à la rubrique Composition.
• Épisode actuel de dépression sévère et/ou idées suicidaires (voir rubriques Mises en garde et précautions d'emploi et Effets indésirables).
Résumé du profil de sécurité
Les effets indésirables associés au traitement par Rebif dont l'incidence est la plus élevée sont liés au syndrome pseudo-grippal. Les symptômes pseudo-grippaux ont tendance à être plus marqués en début de traitement. Leur fréquence diminue avec la poursuite du traitement. Environ 70 % des patients traités par Rebif sont susceptibles de présenter un syndrome pseudo-grippal, typique des interférons, au cours des 6 premiers mois de traitement. Des réactions au site d'injection, essentiellement inflammation modérée ou érythème, surviennent chez environ 30 % des patients. Des augmentations asymptomatiques des paramètres biologiques de la fonction hépatique et des diminutions des globules blancs sont également fréquentes.
La majorité des effets indésirables observés avec l'interféron bêta-1a sont généralement modérés, réversibles et sensibles à des diminutions de dose. En cas d'effets indésirables sévères ou persistants, la dose de Rebif peut être temporairement diminuée ou interrompue, selon l'avis du médecin.
Liste des effets indésirables
Les effets indésirables présentés ont été répertoriés au cours des études cliniques et dans le cadre de la pharmacovigilance ( les effets indésirables répertoriés dans le cadre de la pharmacovigilance sont signalés par un astérisque [*] ). Les indications de fréquence utilisées ci-après répondent aux définitions suivantes : très fréquent (≥1/10), fréquent ( ≥ 1/100, < 1/10), peu fréquent ( ≥ 1/1 000, < 1/100), rare ( ≥ 1/10 000, < 1/1 000), très rare (< 1/10 000), fréquence indéterminée (ne peut être estimée sur la base des données disponibles).
Très fréquent : Neutropénie, lymphopénie, leucopénie, thrombocytopénie, anémie
Rare : Microangiopathie thrombotique, incluant purpura thrombotique
thrombocytopénique/syndrome hémolytique et urémique* (effet de classe pour les médicaments contenant de l'interféron bêta ; voir rubrique Mises en garde et précautions d'emploi), pancytopénie*
Peu fréquent : Dysfonctionnement thyroïdien, le plus souvent sous la forme d'une
hypothyroïdie ou d'une hyperthyroïdie
Rare : Réactions anaphylactiques*
Très fréquent : Augmentation asymptomatique des transaminases
Fréquent : Forte augmentation des transaminases
Peu fréquent : Hépatite associée ou non à un ictère*
Rare : Insuffisance hépatique* (voir rubrique Mises en garde et précautions d'emploi), hépatite auto-immune*
Fréquent : Dépression, insomnie
Rare : Tentative de suicide*
Très fréquent : Maux de tête
Peu fréquent : Convulsions*
Fréquence indéterminée : Troubles neurologiques transitoires (hypoesthésie, spasmes musculaires, paresthésie, difficultés à la marche, raideur musculo-squelettique) similaires à ceux observés lors des poussées de sclérose en plaques*
Peu fréquent : Troubles vasculaires rétiniens (rétinopathie, tâches floconneuses, occlusion d'une artère ou d'une veine rétinienne)*
Peu fréquent : Événements thrombo-emboliques*
Fréquent : Diarrhée, vomissements, nausées
Fréquent : Prurit, éruptions cutanées, éruptions érythémateuses, éruptions maculo- papuleuses, alopécie*
Peu fréquent : Urticaire*
Rare : Œdème de Quincke (angioedème)*, érythème polymorphe*, réactions cutanées de type érythème polymorphe*, syndrome de Stevens-Johnson*
Rare : Lupus érythémateux d'origine médicamenteuse*
Rare : Syndrome néphrotique*, glomérulosclérose* (voir rubrique Mises en garde et précautions d'emploi)
Très fréquent : Inflammation au site d'injection, réaction au site d'injection, syndrome pseudo-grippal
Fréquent : Douleur au site d'injection, asthénie, frissons, fièvre
Peu fréquent : Nécrose au site d'injection, tuméfaction au site d'injection, abcès au site d'injection, infections au site d'injection*, augmentation de la sudation*
Rare : Cellulite au site d'injection*
Aucun essai clinique formel et aucune étude pharmacocinétique n'ont été réalisés chez les enfants ou les adolescents. Des données de sécurité limitées suggèrent que le profil de sécurité chez les enfants et les adolescents (âgés de 2 à 17 ans) traités par Rebif 22 microgrammes ou 44 microgrammes trois fois par semaine est similaire à celui observé chez les adultes.
Anorexie, étourdissements, anxiété, arythmies, vasodilatation et palpitations, ménorragie et métrorragie ont été associés à l'administration d'interférons.
La production d'auto-anticorps peut s'accroître pendant le traitement par interféron bêta.
Déclaration des effets indésirables suspectés
La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration - voir Annexe V.
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